Trop souvent
Vêtu d’un soir
Ce langage en
Dehors du monde
En est pourtant
Son cœur
Mu par une
Intime fragilité
Que l’on transporte
D’un couloir
Du métro
A un autre
Des complexités
Parallèles
Tous ces bruits
Qui résonnent
Dans la poitrine
Que l’on adresse
A nos absents
Cette parole inerte
Ne fait que voyager
D’un réseau
A une âme