Et c’est alors un combat
De chair à chair
Se débattre ou simuler
Ne rien montrer de la peur
De cette lutte dernière
Embrasée de lumière
De l’aube émaillée
On garde pourtant
Des volutes taries
Qui ne veulent pas mourir
Corps entier dans le jour
Une plaie qui s’accroche
Au monde
Assaut redoublé
Aux rages de la ville
Tu pourrais dire
De la vie
Lorsqu’au souffle intense
Pesant de santé
On oublie le pire