Dans les détails, dans
le silence avant d’
avoir retrouvé celle
qui se pose sur la
part d’ombre. Non
comme un masque,
mais comme l’onguent
que l’on attendait.
Et qui se déploie
de l’esprit au corps,
partout. Des allers
et venues dans les
plaies, le ressac
de la mer passée,
avant d’avoir compris
que la tension qui
nous anime peut
s’évanouir, que l’on
peut à nouveau
s’apaiser. Et apaiser.
Devenir ce moment si
doux. Eteignant
à lui seul les soubresauts,
visions épileptiques.
Corps déchirés
autrement que par
le mal, et ces formes
multiples. Je suis à
terre, presque
au péril, d’avoir
mordu dans la
poussière de mes
sombreurs.
Et c’est une belle
vision…A ma chute
profonde, tu es
l’immense mer
de ma vie.