Du regard
Tombe
Ce voile
Douloureux
D'où s’épanche
Le deuil
De ce que l'on
Était
Le corps saisi
Par un démon
Ces trahisons
Qui gouvernent
Son temps révolu
On est pourtant
Toujours en vie
Jusqu'à la nuit
Tombante
Touchant
Le Front
De nos failles
Toujours éteintes
Par le jour