Dans le parcours
De l'existence
La condamnation
Fend l’atmosphère
On s’étreint
Je suppose que
C'est pour l'infini
Toutes les heures
Suspendues à nos
Lèvres comme
A des cordages
Qui finiront par
Se rompre
On s'étreint
Je suppose que
C'est pour l'infini
Ou la peur
De l'instrument
Meurtrier de
Sa vitesse acquise
On s'étreint
Symétrie définitive
Ce pareil sort
Que l'on affirme
Contraire
Je suppose que
C'est pour
Se frayer un
Passage