Quelques-uns portaient
le fer, dans cette nudité
accablante, des mots
dérobés que je dépose
près de toi. L’envers de
ton paradis. Cette fatale
accélération, le crash…
Un abîme se déploie.
Sans le vide, mutisme,
que l’on ressent alors.
Ce temps si bref, et
précieux, l’impression
d’échapper au bleu
du sol…Cette fin
de beaucoup de choses
que l’on dévore…Avant
de l’être par… « Il y
a plus d’ivresse dans
les yeux, que d’alcool »…
J’oublie sa douceur,
elle n’existait pas. Ou si
peu, de malheurs pré-
tendus ralentis par le
temps…Ce calme plat
d’un âge supposé…
Quelques-uns portent
encore portant le fer,
fardeau végétal au
cœur d’un quartier.
Que l’on voit autrement,
depuis.