On est peu
Secourus
D'où les raisons
D’écrire
De s'enlacer
Aussi
Un tas de jours
Défigure
Une seule issue
A ce dévastateur
Féroce térébrant
Qui s'abîme par
La parole puis par
Le corps
Mourir seulement
Par l'effet prolongé
De ton regard
Cet abandon confiant
Qui prolonge
Les souffles