Car tes lèvres
Distillent le miel
Mes pieds descendent
Vers la mort
Mais ton corps
Est un palais
Plus doux encore
Sans cesse épris
De cet amour
D’une chair de
Mes instances
Auprès d’elle
J’enlace aussi
Tes mots
Et moi comme
Un homme bête
En armes
Qui ne savait
Que le mal
Et sans remède
Je suis à présent
Constamment
Sur ton coeur