Alors bien sûr
Il y a l’égarement
La pression que
L’on se met
Et qui produit
Du sang
Alors bien sûr
Il y a l’impuissance
La pression que
L’on se met
Et qui produit
Des querelles
Aux portes
De nos œuvres
Je serai toujours
Attacher à la
folie
Au nombre
De nos jours
Ce temps pour
Embrasser
Ce temps pour
Se taire
Et nos jours
Pour disparaître