Et J’en ai peur
La force de l’écrit
Est réduite à néant
La délivrance pour
Les peines misérables
Viendra du silence
Que l’on dresse
A l’ombre du mal
Silence que l’on
Habite et qui
S’élève affermi
De l’éternel à
La terre
Les angoisses
De ce cœur qui
Augmentent
Face au naufrage
De tous les messies
Réduite à néant
J’en ai peur
Elle chancelle
Comme une
Armée défaite
Jamais vaincue