A l’horizon
La ligne blanche
Ses rues étroites
Encombrées
Qu’on imagine
Parfumées
Alors qu’on arpente
Ce tapis tout
En façades
Cet amour délicat
Pour la débauche
Urbaine
Sa beauté
Toujours
Recommencée
Couleurs déréglées
Comme un
Cerveau ivre
Une gloire confuse
Une chose agonisante
Pourtant désirée
Cette volupté étrange
Qui m’éreinte
Et m’attire