Dévorant nos
Erreurs l’ouragan
Ses décombres
Nous délivrant de
La captivité
De ces vieux démons
Comme des
Barreaux sciés
Je caresse ton silence
Je me penche sur
Tous ces rêves qui
Jalonnent nos
Années
Certains sont
Devenus des crimes
D’autres sont nus
Et se déplacent dans
La nuit
Je me livre moi
À ton châtiment
Sublime
Et l’adieu lointain
N’est plus qu’un
Doux frémissement