Qu’un jour n’
emporte pas…
« T’éteindre même
de loin »… Livré
de coupures, de
parenthèses neutra-
lisantes, avant ton
coucher, comme
table rase. Et surtout
d’impossibilités, surtout
d’envies reléguées, comme
ces gens qui marchent
sans but, alors que tout
abouti pourtant. Ils l’
ignorent c’est tout.
De la figure, du fond,
ils ne savent rien…
Rien d’autre qu’un
libellé, un logo.
Alors que les variations
et même transformations
nous sautent aux yeux…
Ce déroulement intérieur
à l’heure de son acmé
s’avère sur la fin,
comme l’évidence
en retour, s’acharne
au silence…