Ces lignes écrites
Comme on retrouve
Un ancien
équilibre.
Que l’on aborde
une
Escale sur tes
lèvres,
Décidé enfin à ne
plus
Partir. A rester
là.
Cœur ancré à ton
Regard. A cette
terre
Détachée sur du
bleu.
A tes liquides
enivrants
Qui d’un nulle
part font
Ce lieu ultime.
Celui
Que je ne
quitterai plus.
Cet accord
insensé, nous
Dévoilant enfin
l’un à
L’autre. En face
de moi
Ce n’est plus
comme
L’errance, son but
implacable
Sur du noir et du
blanc.
Sur des
personnages
Principaux tous
voués
A mourir. Des
vaisseaux
La nuit...Leurs
effusions
Exilées sur place.
Mais
L’accord épousant
nos
Vies, les formes
éblouies
De nos corps.
Explosant
Ces rues
encalminées,
Pour nos lèvres
Euphoniques.