J’habite ce regard,
Le singulier repère
De tes yeux. J’habite
Là, en charge comme
Sur prise, branché sur
Ton âme. Mon ossature
Glacée s’y réchauffe,
Mon esprit, son alcool,
S’y perdent, et j’entends
Glisser dans l’air
Sylphes et couleurs
Elues. Tout cela
M’entraîne à ce
Caractère si perçant.
Sa pesanteur nouvelle,
Attachée à ces riens
Aux éléments d’un
Tout.
Liée aux raisons
De ta présence, de
Cette inspiration qui
Ne dit jamais son nom.
Son discernement que je
Dessine toujours sur
Tes scènes, en horizon,
Figures et places.