C’est dans cet ordre,
peut-être ancien
peut-être pas, que les
chemins se prennent,
que les tourments se
dressent, que les mains
se lient, pleines parfois
de la douleur ramassée.
« Mots de
cendres et
de vent »,
évaporés
disséminés, de vrais
vertiges que l’on peut
lire sur les visages.
Fatigués de ce vide,
supplices sans réponse.