Sur le bord de
tes rêves je
marche, et m’
attarde à la
chute de ces
mots que tu
trouves dans
la pénombre.
Autant de couleurs
et débris. Autant de
parures posées, d’
éclisses enfoncées
dans les plaies.
Sur le bord de
mes cauchemars je
me blesse encore
et toujours. Même
si je ne traîne plus
sur les claies. Et
“tous ces morts
saignants au loin”
ne m’appellent plus.
Autant d’enceintes
et treillis qui ne
retiennent plus.