lundi 12 août 2013

Ambergris















Ce ruban défait
L’étincelle pour tout
Faire...Au bout d’un
Instant que l’on
S’efforce d’apaiser.
Le monde s’engouffre
Dans cette mer fatale,
Ce monde en rapport
Avec les ombres, les
Sentiments incapables.
Il s’engouffre dans cet
Etrange amalgame de
Nos souffles, qui suscitent
Des mirages, les larmes.
Comme si de l’eau
S’écoulait , se perdait
Dans le bleu. S’évaporait
En frissons courant sur
La peau. Au parfum
Mélancolique presque
Triste,  puis l’instant
D’après si heureux,
En secousses fines
Et discrètes.  Ce monde
En rapport avec les
Méfaits si tendres.
Cette ville d’improviste
Douceur, alors que des
Combats faisaient rage...