C’est ainsi que les
ferveurs s’enfuient,
qu’elles se font
violence...Et se
retournent contre
elles-mêmes. En vrais
désastres immunitaires.
Alors que les charges
s’empilent, montant
toujours plus haut,
touchant pour ainsi
dire un ciel en gris.
Habillé pour sortir,
habillé pour courir,
Comme on le faisait
en suivant les lignes
et ton corps. De
station en station.
Il valait mieux, infini-
ment, s’en remettre
à ce rien ressemblant.
S’en écarter au dernier
moment, et se prétendre
invulnérable. Ce monde
est perché, au-dessus des
contraires, reliés entre
eux...En d’autres termes
tellement proches...La
meilleure des armes.
Pour guérir, un jour.