Ces cadres que nous
connaissons...Pour
les avoir tant côtoyés,
étranges cloisons aux
effets toxines. Masque
derrière lequel, se
cache et regrette,
comme l’habitude
de parler si bas. D’
un air en dépit...
Et nous voilà lancés
plus forts, dans l’ap-
parente clarté d’une
vitre brisée. Eclats
d’ici, que l’on dessine
d’une traite. Ivres au
point de s’y noyer.
Demeure aussi le
trouble...Assez
bien caché, derrière
une tonne de refus,
des marches à n’en
plus...Une distance
à goût de larmes, de
jours pluvieux et
chauds. Qui s’érige
entre les bâtiments,
pour un adieu provi-
soire, lâché comme ça,
à la tombée. Parfumée
drôlement ; d’embruns,
de marques et de folies
passagères. A la descente,
bousculades, empreintes
sous les grands arbres,
de ceux qui vont et viennent.
Entre ces murs étranges,
visages inaccessibles.
Depuis son arrivée,
le plus simple est
d’agir ainsi, de s’en
tenir aux analyses
biologiques. Le faire
de façon à se couvrir,
du danger. Planant
au-dessus...Depuis
son arrivée, de choses
inattendues en colères,
dans sa chute...Les bords
froissés des maisons,
Des bornes incendie
et des vieilles cabines,
s’enivrent d’une sorte
de myopie. D’un accès
direct sur le vide,
au long des trafics.
S’inscrivant lumineux,
control monitor...
« Parlant du milieu
du feu...Qui soit
demeuré vivant... »
