jeudi 8 mars 2012

Transcend


Une Ville Sans Nom 1941
Mise en ligne par YK.2

Mon amour je dois
l’avouer, mon temps
s’effrite, il en devient
précieux, infatigable
enfin. Et s’étire élégant,
pour qu’au mieux il
s’endorme en beauté.
Mon amour je dois
l’avouer, mon temps
s’effrite, il en devient
un instant, à d’autres
inaudible. Et s’incline
pour comprendre, mieux
que l’ivresse, la vie
plongeante. Quelques
écarts dans le vide,
I say it with regret.