C’est la fraîche nuit
Qui jette comme une
Consolation ce
Paysage immuable
Et proche
Ce répertoire
Soudainement
Inconnu
Qui décline
Au fil des heures
L’ombre et
La méditation
Transformant
La ville et ses
Repères
Pour les courants
Profonds de nos
Peines
Laissant couler
Cette masse
Chorale
Le cri des
Morts et des
Corps allongés