On dirait que
L’époque tremble
Que les caresses
Se font piétiner
Comme un rivage
Envahi soudain
D’une épaisse écume
Alors que les réseaux
Doux de la peau se
Transforment en rides
Et que la note
Stridente de la
Violence laisse
Des zones sombres
Reste que le soir tombe
Sur les douleurs
Du cœur
Et sur les heures
Perdues des
Sentiers solitaires