Comme la fin
D’un hiver
Le visage
Changé
Par la mort
Imperceptible
D’une saison
Elle s’évanouit
Dans le doute
La cendre des
Jours gris
Ce mirage
De l’effacement
Impossible
Ce que l’on mesure
Enfin de cette fugue
Allégé du froid
Mais lourd
De l’absence
D’une nuit
Accueillante
Où s’épanouit
Le souvenir
Perpétuel