Il y a l’enracinement
Et cette « arme
Miraculeuse »
De la vie inconnue
Ce mystère inlassable
Qui enflamme les jours
Et plombe les nuits
Dont il ne restera que
La pensée réduite
À des textes
Pour seule descendance
Et présence à la ville
Parce qu’elle brûle
Avant d’être prise
Par le froid
Portée toujours
Par le vent
Le souffle
Paradoxal
De la colère
Que l’on dit
Saine
En soi bien
Vivante
Pour suivre
Le train sauvage
Du mouvement