La nuit assiégeante
Tombe comme une
Caresse dans la mer
Alors que la vie étroite
Semble se disperser
En mille éclats lumineux
Et sirènes dévoratrices
Le violent sillage
D’un rayon perlé
De sang dans les yeux
Sur les maisons
Toits d’immeubles
Et songes endoloris
Tombent ainsi la
Tristesse à mi-voix
Et l’espérance toujours
Sur le bout des lèvres
Comme un jour
Qui se prépare