vendredi 31 juillet 2020

Jamais






















Pourrais-je oublier
La mer contenue
L’embrasement
De tes lèvres

Ta souffrance
Eclatée en rire
Des larmes
Prisonnières
De maisons
Eteintes

Pourrais-je oublier
Le soleil enlacé
Que tu portes

L’heure seule
Comme une existence
Entière entre
Tes mains