C’est assez dire
Que d’écrire ainsi
De la croire inépuisable
De n’en garder
Que ce peu
De poussière
Au creux de la main
Un mal fulgurant
Que l’on domine
Que l’on inspecte
Et comprend
C’est assez dire
Que d’écrire ainsi
De n’en garder
Qu’un édifice
Contre cette loi
Forcément infidèle
D’une nature
Terrible