Part maudite
Que la mort domine
Que l’on s’acharne
À contourner
Comme un sourire
Faussement paisible
Le malheur imperturbable
Les corps perdus
Et nos pensées
En embuscade
Pour se relever
Un jour qui se referme
Hésitant entre le dégoût
Et cette colère
Comme la nuit
Son retrait
Sa couleur
Et sa force