Dépouillement
Des traits
Une poussière
Que l’on dissipe
Comme on réveille
Une présence
Ce délice
De la survie
Dépouille subtile
Que l’on trimballe
D’un trottoir
Indifférent
A l’ombre
D’un feuillage
On y meurt
Un peu
De ce vestige
Ce risque certain
Résidu
Que l’on
Redécouvre
A chaque ligne