Souvent souffrir
N’engendrer que
Des jours
Les bras tendus
Vers
Retrouver le
Chemin de cette
Mémoire
Pour mieux le
Noyer
Ne jamais remarquer
La faiblesse croissante
De ce que l’on aime
De ces paysages
Qui s’estompent
Devant soi
Cette arme tranchante
N’est pas l’essentiel
Elle ne raconte
Que les phases
Du grand plongeon
Sans parvenir
A s’arroger
Nos amours
Forcément
Naufragés