Mais quel esprit s’empare
ainsi de ce qui pourtant
s’écrit simplement…Quelques
mots portés sur la chair,
ce n’est que liberté tout
autour. Et ma peur aussi.
De la zone grise, qu’elle
devienne un sort si peu.
Qu’elle devienne mon
corps tout autour. Les
amis perdus le temps
qu’ils n’ont jamais eu.
Mais quel esprit s’empare
ainsi de ce qui pourtant
se dit naturellement.
Quelques gouttes de
sueur perlant sur ton
dos me rappellent
combien les jours
me sont donnés. Je les
caresse depuis comme
le sens à trouver.