Et quand ces jours
Seront passés on
Pourra sanctifier
Nos paroles
Et parcourir nos
Pensées nos
Corps
Cette nuit
Affamée qui
Ressemble au
Sépulcre
Se rendra
Le cœur de sa
Sentence
Ébranlée
Le fléau
Donnant soudain
La mort dans
L’amertume
De son rejet