Ce qui
Est sûr
Vers le passé
Sa perte pure
S’y dissolvent
Des heures
Convoitées
Ou craintes
Des minuits
Foutus en l’air
Des jours aimantés
Au silence
Disparus dans
La brume
Ivre voire
davantage
Simple transfuge
D’un mal farouche
Ou le mal lui-même
Va savoir
Sans que m’
Effleure le vent
Du Ponant ou
Celui de Paris
Comme un pécule
Perdu
Ainsi vont
Les pages
Des paysages
Leur adieu total