Il y a là posés
sur le bord, les
fragments d’une
existence, entre eux
reliés par un sentiment
que l’on voit juste,
baigné de désirs
et de causes
aux
larges vues
solitaires, puis
solaires. Elles
tombent dans
la mer, après
avoir fendu
silences et rues,
tôt le matin.
Colères, envies,
désirs...Comme
des cris étouffés,
des tas d’endroits
revisités... A quoi
ressemblent-ils
à présent ? Le son
de leur voix, libre
encore de m’
approcher, souvenir
diffus, depuis