(De Carol Delage et Yan Kouton)
Tullamore...
Mords-la tu ?
J’adore l’idée de
l’oublier en
parcourant ton
corps. Quand au
service uniquement
à ton comptoir je me
donne. Transe et sueurs
mêlées, en quarantaine
si lumineuse. Dans le
sillage de tes vibrations
mon corps en plein
automne te suit. Et
nous roulons l’un sur
l’autre comme au
sommet d’une saison
dévalée. A l’affût, récolter
après un printemps
et un été la moisson.
Au défi de l’hiver
que l’on tient en joue de
notre amour. Toujours
l’éternelle espérance,
toujours cette force vive
sous les draps, à l’abri
du monde qui nous
maintient.
Prolongation du
sursis. Et quel plus
beau face à face, combat
des corps tout en
douceur et sursauts,
cambrés offerts.
Mon insuffisance n'est plus
rien quand ton escale s'éternise.
A vouloir dans tes bras ad vitam
rester et vivre...Respirer et
courir sur ton corps...
Ce monde c’est
nous. Serment de
feu, de raison qui
nous élève...
Mords-la tu ?
J’adore l’idée de
l’oublier en
parcourant ton
corps. Quand au
service uniquement
à ton comptoir je me
donne. Transe et sueurs
mêlées, en quarantaine
si lumineuse. Dans le
sillage de tes vibrations
mon corps en plein
automne te suit. Et
nous roulons l’un sur
l’autre comme au
sommet d’une saison
dévalée. A l’affût, récolter
après un printemps
et un été la moisson.
Au défi de l’hiver
que l’on tient en joue de
notre amour. Toujours
l’éternelle espérance,
toujours cette force vive
sous les draps, à l’abri
du monde qui nous
maintient.
Prolongation du
sursis. Et quel plus
beau face à face, combat
des corps tout en
douceur et sursauts,
cambrés offerts.
Mon insuffisance n'est plus
rien quand ton escale s'éternise.
A vouloir dans tes bras ad vitam
rester et vivre...Respirer et
courir sur ton corps...
Ce monde c’est
nous. Serment de
feu, de raison qui
nous élève...