De quel geste, son
repentir sur la peau,
sommes-nous les
vies...D’aller et
venir en nos
êtres profonds,
ombres douces
qui s’unissent là
sur un mur, comme
l’humble humeur
de notre feu.
De cet office que
l’on célèbre,
guidés
par de pures et simples
aumônes de nous-
mêmes. Quand nos
triomphes, quelque
chose comme cette
lumière, pôle
affranchi des
sommeils en péril,
tout lacérés...Cet
éveil, enfin, dans
l’irradiance de ta
chair...