De sa libération
prolongée, comme
on sort d’un brouillard,
élixir ajouté sur les
traits, le sursis chaque
matin bien dosé...
Effluve parvenant du
dehors, et ces cris,
ces cris d’enfants
dans une cour, plus
bas. Les principaux
résidents qui se
battent dans ma
tête, pour savoir,
si oui ou merde, ils
vont me tuer.
De ma libération
prolongée, je sors
enfin plus souple,
difficile à obtenir,
sauf en brûlant les
notices, en pilant les
cachets. De façon
claire sur la ville,
qui s’étend toute
blanche encore
endormie.