A l’approche délicate
comme un reproche,
celui de marcher, celui
de laisser derrière.
Sans l’intention de
sortir toutes ces
choses d’une arrière-
cour...Ce miroir de
nos guerres.
Brisé par les façons
de garder le silence.
De poursuivre, en
conscience, ce périple
un peu vain, sur
une berge sûrement
périlleuse. On dit ça...
Comme on exprime
un désir, une idée,
le rejet...Sa torture
et l’attachement
enfin consenti.
Pour ce temps
forcément im-
précis.