Par les portes,
grandes ouvertes
donnant sur les
parvis aveuglants.
Tout ce blanc, des
voiles que dissipent
à peine la ville et
son aube. Remplis
de
rayons et
d’austères
écrans, sur lesquels
défilent les chemins
à suivre. Des impacts
comme des lettres,
décorés par les
bourrasques, des
cadavres dans les
conteneurs. Posés
tout pareil que des
médailles. Avec achar-
nement, afin que l’
espace gagné sur la
lumière n’oublie rien
de ces débris. De l’
imprudence et du
reste...Alors que tu
me dis de ne pas
céder. De pour-
suivre, comme si
rien n’était.