Quand ça repose
Entre tes mains
L’intégralité
De ce qui
Te courbe
L’effet de
La chute
S’estompe
Sans la peine
De la disparition
Ce que l’on dissout
Dans le vivant
Le cœur fondu
Et son lieu
Intérieur
Toujours
En mouvement
Cette multitude
De peaux qu’il
Faut porter