Un
seul cri pour
que
s’éloignent
les
autres bruits
métalliques
- ceux
dont
on ne réchappe
pas
- un seul cri comme
prière
d’espoir quand
les
souillures - ce genre
de
chose que l’on porte -
cette
part affligée
affligeante
qui nous
écrase
- un seul
cri
pour un enlacement
à
l’abri de tout - ce
temps
imparti qui
s’éteint
de si belle
manière
- en fragments
projetés
sur nos -
on
entend des ailes
battre
contre des
feuilles
- et le chant
de
la fragilité -
qui
se pose sur
ta
poitrine haletante -
l’initiative
d’un
mouvement
si -