The Line's Very Bad

Sans transition...
Des sirènes au
Ralenti...A la
Destination hésitante –
Des signes ostentatoires...
On revient au départ –
Au nom d’un certain...
J’entends encore et
Toujours des questions -
De survie – et sombres
Forcément...Parce que
La peur ne change rien...
Par exemple ce carrefour
Traversé...Comme
Si d’une certaine...Tout
Aurait dû finir là –
Trop la classe au pré-
Texte...D’étoiles cou-
Pantes – sur les vitrines...
« Jusqu’à ce qu’elles
Soient détruites »...
Ca n’a aucun sens...
« L’éternel...Ton Dieu... »
Ainsi sera le groupe –
Un truc éclaté – dans
Une atmosphère de
Mega-resort...

Family Life

En dehors des
Sentiers – de l’
Odeur pour dé-
Fendre...De l’o-
Deur d’un garage –
D’un chargement en
Cours – interrompu
Puis...Véritable
Paraclet...Consola-
Tion fumante –
Un bitume chaud
Dont l’effluve remonte
Jusque-là...Et rappelle
L’absence des liens...
Cette chose pas vraie
Que l’on trimballe –
Qui nous saute à la
Figure – de préférence
En ville – quelque part
Entre deux...Que l’on
Sait un jour atomisé –
Pouvoir détruire –
Pris dans un gunfight...

Also-Ran

Déjà sur le tard...
En plein shoot...
Alors que les saisies
Battent...Enfin qu’
Elles brillent les
Salopes – de tous
Leurs feux – à l’
Avance on aspire
On avale on injecte
Et quoi...Je réponds
Aucun problème – à
Part les résultats dans
La boîte...Sans pré-
Venir - à ceux
Reconnaissants qui s’en
Tapent...Et s’envoient
Des rampes – à ceux-là
Qu’ils crèvent – qu’ils
Tombent dans les
Bas-fonds des stats...
« Ce fut le jour de
La Fête-Dieu »...
Qu’ils tombent
Une bonne fois...
A vitesse incons-
Tante...Les détails
Aux abois...All right
All right I’m coming...

Violent (Storm)

Les restes fumants
D’un monde effondré –
Lumière de l’après...
Et ses phrases jonchées
De débris – de frag-
Ments tombés – comme
D’un accident...Qui se
Retrouvent au milieu –
Just like my father...
Le même son derrière
Soi…Coulisses d’un dé-
Part – déchiré par les
Fils barbelés – travaux...
Cuivre à l’air libre –
Et cigarettes de contre-
Bande...Quotidien
Pour survivre – dans
Les gravats et la haute...
De quoi soutenir un
Exil temporaire -
Imprimant sa marque...
Sur des bureaux à
L’abri grâce au
Verre - teinté dans
La masse – on y
Décèle des structures
Si trompeuses -
See my ships...

Coloureds

Une Ville Sans Nom 1883
Mise en ligne par YK.2

S’éloigner des
Pénitents – de ces
Cohortes d’affamés
Volontaires...En
Boucles sérielles –
Sur les pavés ...
Dans les hyper-
Centres – à terme
Dans l’espace dé-
Cliné...En apparence
Encore – mais tellement
Augmenté...Qui
Exige et soumet...
A la différence que
L’on s’y jette à
Corps – et que le
Sang ne coule...
Sur un trottoir
Multicolore...
Plusieurs maux
A la fois...Comme
Un système foutu –
Une antichambre...
A la mémoire comme
Un crash...J’étais
Pourtant...

Scarcely

Ailleurs les multi-
Tudes s’érigent com-
Me des barrières...
Promesses emballées...
Dans les lois d’un
Genre...La question
Dès lors se pose...De
S’identifier sur un
Autre compte – pour
Dire la chose... A
Voir ce qui se passe
Derrière...Rends-moi
Ce que tu m’as dé-
Robé...Plusieurs
Années et des poussières
De ville – les risques de
L’écrit...De ses manques
A la fin... Adoucis alors
Que passe Peaceful Valley
Boulevard... Ailleurs les
Multitudes ne cachent
Rien – elles avalent et
Mènent aux ravages...

An Alarming Slide

C’est devant les
Feuilles – de la récup
Sonore... Vidéo sur
La zone...Sur la mer
Etale...Si près de celle
Celle bouffant nos
Remparts – finalement
Elles se parlent...A
Distance de leur état -
Si plein de promesses...
De saignements...
De ciels chargés –
Quand elles s’igno-
Raient encore...Ne
Partageant rien – sur-
Tout pas ces bruits
Assourdis...Immergés...
Reste un merdier radio-
Actif – et la vie pour –
Enfin ce moment où
L’on comprend ce qu’il
Fallait – en fait fallait pas...
Tout est dit – enterré...
C’est mieux comme ça –
Un silence qui en dit...

From Day To Night

Comme il demeure
Dans les sols...Loin
De l’enceinte feutrée
Du centre...A brasser
Quand même de l’air...
Celui des terminaux
D’aéroports – vides...
Sauf de pensées faciles...
Et d’avantages – que l’
Attente ne comble pas -
Réparations à la limite...
Lisière bétonnée –
Eloignée de toutes les
Situations possibles -
Des ruptures malades...
Visages dans ces vitres
Aveugles – en attendant
Le noir...Et merde...Un
Lendemain – avec envie...
Qu’il daigne me regarder –
Comme la séquelle...
Cette façon de marcher –
Pauvre spectacle entre
Deux blocs – rayé de
Bruits et d’arrêts en
Urgence...Récifs dure-
Ment négociés...