Dans cet immense
Écume urbaine
Miroirs fumés
Traces d’étoiles
Perdues sur
Des façades
Et la peine
Toujours
Immense
A la vue de
Ce cadre d’acier
De cette sangle
Et d’un regard
Si pur et si doux
Comme on décrit
Les contes d’un
Univers
Empli de rires
Dans un espace
Si vaste
Que l’on aimera
Jusqu’au fond
Diffus de notre vie