Dans l’étoffe de la peau
Naïveté si pure de l’avenir
Comme on s’émancipe
Du carcan de l’enveloppe
Cette musique si douce
Qui s’efface entre ciel
Et terre
Entre ces tours
Qui s’élèvent
Jusqu’au recueillement
Ces formes ultimes
Les dernières gouttes
D’une âme allongée
Dans ce goût de la beauté
Et de l’inachevé