Mon âme
La peur
Toujours
Taraude
A l’orée
D’un parcours
Où l’on devine
La vie sa guérison
Le silence que fait
La paix intérieure
Le bruit des machines
Et les pièces aveugles
Que l’on voit
Comme une
Intensité
Jamais comme
La douleur
Sous le coup
De la ville
Fulgurante
Et des sourires
Lumineux
Qui nous suivent