Ces montées d’imaginaire
Qui ressemblent si peu
A nos zones de silence
Dessinent les frontières
Évaporées de ce trouble
Ce que l’on était sans
Ce que l’on est à présent
Vastes chantiers qui
Transforment ces
Paysages intérieurs
Et ce mur de brouillard
En lieux où l’on chemine
Au-delà des apparences
Une brume disparue
Comme pour la
Renaissance
D’un monde