Comme on se
Cache
Plein de
Fantômes et
De pensées
De ballades
Et de lignes
Imprimées
Toujours trop
Loin des autres
Et pour cause
Il faudrait
Abattre
Toutes
Les barrières
En soi
Comme celles
Qui ceinturent
Tous les chantiers
Que l’on croise
Et ne plus voir
Les images
Par paquets
De la ville
Traversée
Plus rien
De la douleur
Hostile en soi
De cette maison
Qui brûle pour
Âme dérisoire
Et transformer
Cette cage en
Veilleuse
Éternelle