Corps et visage
Loin de ces trop
Nerveuses
Constructions
De cette cage
Trop longtemps
Aménagée
Où le silence
Sur la corde
Est ce blanc
Trop vif
Alors que sur
L’autre rive
Il y a l’intérieur
De l’art
Cette façon
D’être au monde
De la ville qui
S’ébroue
Et de ce cœur
Qui fut malade
Comme le maillon
Spirituel de nos
Enfermements